L’intérêt de voyager d’est en ouest, c’est que même étant partie vendredi de Paris vers 14h, et malgré les 8h30 d’avion, j’arrivais à l’aéroport JFK à 17h. Le temps de trouver un taxi qui me permettrait de passer confortablement les presque 30 km pour rejoindre Manhattan, et j’étais en route pour retrouver Thomas. Après le trajet, dont j’ai profité pour me remplir les yeux d’images de cette ville sans pareil, le taxi me dépose devant l’Equinox. Le bagagiste se précipite alors que le chauffeur sort ma valise du coffre du fameux “Yellow cab”. Le hall est magnifique, le style de l’endroit mêlant modernité et style des années 50/60. Les employés du desk sont charmants et efficaces. En peu de temps, je suis dans l’ascenseur avec le bagagiste qui n’a pas voulu entendre que je pouvais prendre ma valise seule. En effet, ne restant que pour le week end, elle n’est pas si volumineuse… Mais je le soupçonne de vouloir rester encore un peu en ma compagnie, car je surprends son regard sur moi. Pourtant, après le vol, puis le trajet en taxi, je ne pense pas être à mon avantage… Je suis fatiguée, ma coiffure est concrètement à revoir et mon maquillage à rafraîchir… Mais le regard de ce compagnon d’un temporaire voyage ascensionnel est posé plus bas… Mes chaussures à hauts talons, que laissait voir mon pantalon fluide à chaque pas, semblaient lui inspirer des pensées assez troublantes, si j’en crois le rouge de ses joues. Je souris à l’idée que c’est peut-être un fétichiste des pieds… Qui s’ignore ou pas. Je décide de jouer de son trouble en remontant lentement ma jambe de pantalon, ne découvrant que ma cheville, en faisant mine d’inspecter ma chaussure du regard… Du coin de l'œil, je vois mon petit bagagiste relever la tête d’un coup, en déglutissant de façon très mal à l’aise… Et ses joues, s’empourprent encore plus… Je laisse alors tomber mon pantalon en souriant… Je pense que dans sa tête se mélange le plaisir et la frustration… L’ascenseur arrive à l’étage de la chambre de Thomas. Le bagagiste peut encore se rincer quelques instants l'œil alors que nous arpentons le couloir. Thomas m’attend appuyé sur le chambranle de la porte. Je sourit largement en le voyant. Non seulement je suis toujours heureuse de le retrouver, mais dans ce cadre, cette ville… Ça prend un goût d’exceptionnel. Il donne un pourboire au bagagiste, et récupère ma valise. J’entre dans la suite, et suis époustouflée par le luxe de l’endroit… “Je te fais visiter ? - Je ne sais pas… On a 2h devant nous ?”, je plaisante, tant l’endroit me parait immense, ce qui fait rire Thomas. Il y a quand même un salon spacieux, une chambre avec un immense lit et une salle de bain gigantesque. Le tout meublé avec luxe et confort, toujours dans ce style néo-50’s Nous revenons dans le salon, et Thomas me propose du champagne pour fêter mon arrivée. Je m'installe dans le canapé en cuir moelleux et regarde autour de moi. La vue sur Manhattan est époustouflante, surtout quand on la voit pour la première fois. Puis mes yeux tombent sur un objet étrange posé sur la table basse. En bois blond sculpté, il est courbe, aux reflets légèrement dorés dans le fil du bois. La longueur oblongue est structurée comme pour le tenir en main. Et il comporte une sorte de poignée étrange à l’extrémité… Poussée par ma curiosité, je saisit l’objet et le retourne entre mes doigts et lui lance d’un air taquin : “Ils sont curieux, les décapsuleurs, ici !” La patine est douce au toucher. Il y a aussi un petit dispositif en silicone niché à l’intérieur du corps de l’objet.. Et ce logo gravé au nom de “Idée du désir”... C’est intriguant et sensuel à la fois… Thomas me tend ma coupe de champagne, et s'assoit dans le fauteuil en face de moi. “Appuis sur le petit bouton sur l’insert noir” Ah oui, je n’avais pas vu le petit bouton… Bzzzzzz… Ah, ça vibre… De ce fait, ça fait vibrer l’ensemble de l’objet, et je regarde Thomas d’un air intrigué et circonspect… “Bon, tu vois… Ce n’est pas un décapsuleur…” dit-il en riant Oui, bon, je savais bien que ce n’était pas un décapsuleur… Et vu sa tête, je me doute de la nature de l’objet. Mais… En bois ? C’est étrange, je n’en avais jamais vu… “C’est un ami, un artisan français qui fait ça. Il fait chaque pièce à la main, dans un bois choisi. Développement local et durable, sans pesticide… Il se sert d’un vernis spécial… Enfin, tout pour que ça soit sans danger. La courbure est prévue pour atteindre le point G… Et les nervures… Et bien tu te doutes… Là, il vient d’ajouter ce ‘bullet’ dedans, pour encore plus de plaisir… Il voulait mon avis… - Et elle a un nom, cette œuvre d’art ? - Oui. C’est “l’orchidée vibration” - Joli nom…” L’objet m'intrigue de fait encore plus… Je le caresse… La sensation de douceur se confirme. Mes mains caressent l’objet comme on pourrait caresser un sexe d’homme… C’est en effet très sensuel… Très différent de la sensation des jouets en silicone… Le bois est plus “chaud”. Plus organique… Vivant… Je joue avec les vitesses de ce qui est donc un “bullet vibrant”. Différents niveaux de force de vibration, de rythme, des programmes variés… Voilà qui semble de plus en plus intéressant… Thomas sirote son champagne, et son regard semble brûler de l’envie de me voir jouer plus “sérieusement”... Je coupe les vibrations pour tester cette sensation inédite. J’ai peur que ce soit un peu “dur” pour mon intimité… Mes doigts glissent dans la poignée qui me faisait penser à un décapsuleur. C’est vraiment ergonomique et confortable…Et cela permet de donner un angle idéal… Je m'installe un peu mieux sur le canapé et écarte les jambes en plantant mon regard dans celui de Thomas… Je le pose sur mon entre-jambes et me caresse à travers l’étoffe fine de mon pantalon… C’est en effet un peu plus dur qu’un jouet en silicone, mais c’est très agréable, cette pression. Plus précise, j’ai l’impression. Thomas se cale mieux dans son fauteuil en voyant que j’apprécie l’objet de son ami… Il sait que j’aime me caresser ainsi, devant lui, par-dessus mes vêtements et se prépare à apprécier le spectacle. Je commence à sentir une certaine humidité s’installer là où le jouet me caresse… Mon clitoris durcit et mes seins se tendent… Mais j’ai envie de sentir le contact du bois de façon plus intime… Je pose donc le godemiché sur le canapé et me lève. Toujours sans quitter Thomas des yeux, je déboutonne mon pantalon et je le laisse tomber sur mes chevilles… Je le dégage de mes pieds, l’un après l’autre…Doucement… Je n’ai plus que mon shorty en dentelle gris perle et mes hauts talons… Avec un regard malicieux, je fais glisser l’étoffe légère le long de mes jambes et lui lance. Je me rassoie, me rejette en arrière et écarte les jambes largement… Thomas voit mon sexe ouvert et déjà luisant… Je reprend le gode et recommence à me caresser… Le contact est grisant… Mon sexe qui coule lubrifie parfaitement le bois qui glisse avec lubricité le long des mes lèvres… Écartant les grandes pour masser les petites… Ce que je ressens est très original… Et fait vite monter mon excitation… Et c’est tout naturellement que le jouet glisse en moi… Le bois me pénètre “d’autorité” et c’est divin ! Les rainures massent mon vagin et accentuent encore ma lubrification naturelle… La tête du gode se place pile sur mon point G, et je sens que je pourrais jouir très vite… Mais je veux prendre mon temps… De mon autre main, j'appuie sur le bouton du bullet… La vibration s'enclenche… C’est merveilleux ! J’en profite pour ressortir le jouet et le poser sur mon clitoris… Le bout tout rond est doux... La vibration qui se répercute dans le bois est terriblement excitante ! Trop, si je ne veux pas jouir trop vite… Et surtout, je veux voir s' il peut me faire avoir un orgasme via mon point G, puisque c’est prévu pour ça… Je choisis une vitesse qui reproduit une pulsation, et fait de nouveau glisser le godemiché en moi… L’effet est immédiat… Je gémis de plus en plus… De plus en plus fort… je sens monter le plaisir… Mon plaisir… Mes va et vient se calent sur les pulsations du bullet… Je me tends, me tords sur le canapé… Et soudain, je m'arque-boute pour accueillir un orgasme puissant, qui me submerge dans un râle… Je retombe dans le canapé et regarde Thomas, les yeux encore empli de jouissance… Lui, il sourit… Et me dit “Et bien… Qui pourrait encore dire que l’orchidée est une fleur fragile...!" Merci à Idée du Désir de m'avoir permise de tester ce produit qui a inspiré cette nouvelle, en échange d'un test honnête et objectif (Cliquez sur les photos pour agrandir)
Depuis le temps que je rêve devant leurs produits, enfin j'ai pu en tester un ! Et bien, c'est du plaisir à l'état brut ! Idée du Désir innovait déjà en faisant des jouets en bois, mais il innove cette fois encore en les rendant "vibrants" ! Et il nous livre là un objet beau, sensuel, et terriblement efficace ! Dès l'ouverture de la boite, déjà très élagante (idéal pour un cadeau), on sait qu'on est sur du haut niveau de finission ! Un petit rouleau qui vous donne des conseils d'entretien et d'utilisation, une belle pochette en satin, des échantillons de lubrifiant, et bien sûr le chargeur. C'est l’artisanat premium mis au service du plaisir ! Les plus :
Les moins :
Et pour pouvoir accéder vous aussi à ces sculptures de plaisir, Idée de Désir offre à mes lecteurs 10% de réduction avec le code "lafilledemars"!
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