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S'il est bien un "rôle" dans le BDSM au sujet duquel on entend tout et son contraire, c'est bien celui de Mentor(e)....
Je vous propose de faire le point autour de ce concept Depuis qq jours, je vois tourner partout cette nouvelle de l'élection d'une maire transgenre.
J'avoue être partagée sur le sujet. Non pas sur le fait qu'elle soit trans, mais sur l'intérêt de cette sur-médiatisation de son élection.
On me pose souvent la question de comment débuter en BDSM…
Pour les personnes novices qui me contactent pour une démarche solitaire, et ce quelque soit la raison, j’ai fait un “Kit de survie en milieu BDSM”. Mais si ce kit vise à faire connaître les bases du BDSM, il sert surtout à prémunir la personne soumise des prédateurs, et la personne Dominante des principales erreurs de débutants, dans le cadre d’une recherche de partenaire. Mais de plus en plus de couples cherchent à connaître notre monde. Que ce soit pour répondre à un désir profond, ou que cela soit dans le but de redonner un nouvel élan au couple. Ou encore juste pour pimenter leur vie sexuelle. Pour ces couples, mon kit ne suffit pas. Et ils ne sont pas suffisamment avancé dans la démarche, et ne le seront peut-être jamais, pour lire les différents articles de mon blog. C’est dans ce but que je fais cet article.
Il y a quelques temps j’écrivais un article sur le volet consensuel des 3 axiomes de base de la relation BDSM (“Consensuel, qu’on se le dise”).
Dans cet article, j’abordais bien sûr la communication, sans laquelle on ne peut appréhender la consensualité. Aujourd’hui, je voudrais revenir sur cette communication, surtout en début de lien, qui va permettre au couple BDSM de se construire sur des bases solides. Il y a deux serpents de mer que l’on voit régulièrement resurgir. Ce sont “Les 12 règles de la soumise” et les 9 degrés de la soumission.
Si le premier opus est un texte dont on commence à intégrer qu’il n’a jamais eu aucune vocation universelle (j’en dit plus dans mon article “Rendons à Master Mind…”), il est encore dit beaucoup de bétise sur ces fameux “9 degrés”. Je vous propose de faire un peu le point sur ce que sont ces 9 degrés...
Les hasards du net me guident parfois vers des aberrations de notre monde... MDF, psychopathe déguisé en Maître suprême d'une école BDSM extrême, charlot qui confond acte sexuel hard avec BDSM...
Mais là... Ça faisait longtemps que je ne n'étais pas tombé sur ce genre de site...
Il y a qq temps, je faisais un article sur l’interconnexion entre le BDSM et le libertinage, (« BDSM or Libertinage, that is the question »). Pour ce faire, je repartais à la genèse de ces deux modes de vies. J'avais arrêté mon « historique » à la fin du XIXème, car le propos de l'article ne nécessitait pas de parler de l'air « moderne » du BDSM.
Dernièrement, le thème des différents « courants BDSM » est revenu dans les débats. Et en faisant des recherches pour étayer ma réponse (en gros « Qui, quand » en plus du « quoi » que je connais déjà), l'idée de faire la suite de cette première « Brève histoire du temps du BDSM » m'est venue. En effet, comment a évolué le BDSM entre la fin du XIXème et notre XXIème siècle ? Qu'en est-il de tous ces courants, obédiences, et autres « écrits fondateurs » qui resurgissent régulièrement et alimentent le côté sulfureux du BDSM ? Reprenons donc notre capsule temporelle...
Les désirs de mes lecteurs(trices) sont des ordres ! Et à la suite de mon article sur la notion de fidélité dans le BDSM, des question sont nées sur la jalousie...
Tout le monde s'accorde sur le fait que le Lien débouche souvent sur un profond attachement entre la personne Dominante et sa personne soumise. Attachement qui parfois même se transforme en amour. Au XIXème siècle, on disait « L'amour sans jalousie est un bien faible amour. ». Pourtant, c'est en même temps cette peur de perdre l'autre qui détruit bien des couples vanille... Sachant qu'en BDSM, la personne soumise est sensée avoir une confiance aveugle dans son Maître ou sa Maîtresse. Est-ce à dire que le Lien BDSM est exempte de jalousie ? Alors que l'on sait aussi que la jalousie naît également d'un manque de confiance en soit... Voilà bien des questions qu'il est intéressant d'aborder... *Hi-Fi : High Fidelity – Haute Fidélité
Cet article est le 3ème volet sur des articles que j'ai appelé « Les liaisons dangereuses ». En effet, je vous avais parlé de la place du sexe dans le BDSM, puis de celle des sentiments. Viens le moment de parler de fidélité. Mais que veut dire la fidélité en BDSM, pilier de la vie conjugal vanille depuis des lustres, puisque ces relations sont « hors normes ». Encore une fois, tout est question de point de vue. Mais en BDSM, on ne fait vraiment rien comme tout le monde... Quand on arrive dans le milieu du BDSM, très vite se pose la question du nom que l'on va utiliser.
En effet, très peu de pratiquant utilisent leur nom civil. Parce que se choisir un pseudo BDSM fait partie du « décorum » Mais c'est également une question de sécurité depuis que les réseaux sociaux sont presque devenus le passage obligé pour rencontrer la communauté . Se choisir un pseudo, c'est aussi protéger sa vie privée Mais comment choisi-t-on son nom BDSM ? Est-ce que, là aussi, il y a une règle ? Je vais vous donner mon point de vue, avec une petite pointe d'humour, certes... J'aurais pu également appeler cet article « La recette infaillible pour une séance BDSM réussi », mais ça m'a semblé un peu trop « piège à clics », comme titre ! (Clin d’œil à mes collègues blogueur.se.s de la sexosphère)
La séance est un temps important dans la relation BDSM. Elle est le temps où le couple BDSM se retrouve autour des pratiques D/s (Domination/soumission) et/ou SM (Sado-Maschistes). C'est le point d'orgue du lien. Là où l'éducation du (de la) Maître(sse) va s'exprimer pleinement. Où la personne soumise va pouvoir mettre en pratique ses apprentissages. Où les deux vont s'épanouir dans un moment intense de plaisirs partagés. Mais les pratiques en elles même ne sont que la partie émergée de l'iceberg qu'est une séance. Une séance comprend un certains nombre de passages obligés pour qu'elle s'inscrive dans un BDSM Sûr, Sain et Consensuel (SSC)... Je pense que cette simple phrase va parler à tous mes lecteurs et vous rappeler des souvenirs plus ou moins lointains... Et je suis sûre que certains vont même penser « Et plus ou moins agréables... » !
Et c'est en effet de punition dont je vais vous parler aujourd'hui. Par contre, pour la plupart des gens extérieurs à notre mode de vie, mais également pour beaucoup de novices, il y a souvent un amalgame entre châtiments corporels SSC et punitions. Hors, ce n'est pas aussi simple. Et je vais essayer faire un peu le point sur ce qu'est une punition dans le BDSM. (Et il n'y aura pas de contrôle à la fin, promis !) Oui ! Joyeux 24 juillet ! Journée mondiale du BDSM !
Non, mais c'est une plaisanterie ? Ça existe pour de vrai ? Une journée spécial rien que pour nous ? Moi aussi, la première fois, je n'en ai pas cru mes yeux... Mais si, le 24 juillet est bien La Journée Mondiale du BDSM ! Et comme des articles fleurissent partout en ce « jour frabieux », j'ai eu envie d'en savoir un peu plus... Oui, je m'adresse à toi, la personne soumise qui arrive dans le fabuleux monde du BDSM.
Que tu y tombe comme Alice dans le terrier du lapin, ou que ce soit le fruit d'une résonance avec ce que tu sens au fond de toi depuis longtemps, le résultat est le même : Tu arrive dans un milieu où tu ne connais aucun code, aucune coutume, aucune règle. Et avant de plonger dans le grand bain, il va te falloir apprendre à nager... Parmi les sujets qui fâchent en BDSM, il en est un particulièrement délicat : l'argent...
En effet, on voit depuis quelques années fleurir des personnes Dominantes (essentiellement des femmes) dites « vénales ». Et beaucoup les associent à des prostituée, voir pire. Cependant, elles ne sont pas les seules à « tarifer » leurs « prestation ». Mais est-ce que cela en fait des « vraies » Dominas ? Dominas professionnelles et « Money Miss », est-ce que c'est la même chose ? Voici un petit tour d'horizon des 3 grandes catégories que je dégage de mon observation. Troisième volet de la trilogie d'article sur le SSC, Après les aspects Sain et Consensuel, la nécessité du côté "Sûr".
Mais comment parler de « sûr », alors que dans la pratique du BDSM, les risques d'un accident, d'un traumatisme physique et/ou moral, de séquelles irréversibles sont omniprésents ? Est ce que ce n'est pas utopique ? Voici ma vision des choses. Puisse-t-elle vous faire avancer dans votre propre réflexion La question de la 2ème soumise, voir plus, se pose souvent dans les groupes ou dans les conversations entre pratiquant BDSM.
La question est souvent, à torts il me semble, posé dans ces termes : « Un Maître ou une Maîtresse peut-il avoir plusieurs soumises ? » Je pense que poser cette question de façon générale est une erreur. En effet, cela ne réside pas dans le "pouvoir", ni dans le "vouloir", mais en fait d'une démarche très personnelle. Et donc dans le "Pourquoi". Je vais me permettre de donner ma vision des choses vis à vis de ce sujet... Très régulièrement le sujet revient, et fait polémique.
Est ce que libertinage et BDSM, c'est pareil ? Est ce que le BDSM est du libertinage ? Est-ce que le libertinage est compris dans le BDSM, ou est-ce l'inverse ? La plupart du temps, les avis sont très tranchés et les esprits s'échauffent vite... J'ai trouvé intéressant de partir de la base : D'où vient le BDSM et le libertinage ? Ont-ils une origine commune, parallèles ou totalement différentes ? Voici donc une « brève histoire du temps » du BDSM et du libertinage. |
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Août 2022
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