Une histoire de robe et de transparence...

“Tu es libre ce soir ? J’ai un dîner…
- Quel genre de dîner ? Pro ou de parade ?
- De parade… Pfff… Comme tu y vas…”
​
J’éclate de rire 

- Tu as un meilleur nom pour ces dîners où le but est d’en mettre plein la vue à tes concurrents… Pardon, tes “amis” ?...
- Oui… Bon… De parade, si tu veux… 
- Et je dois mettre quoi comme tenue ? 
- Tu as carte blanche. Mais soit éblouissante...

- Est-ce que “provocante” peut être compris dans “éblouissante” ? Parce que je viens de recevoir une toute nouvelle robe hallucinante… 
- Je commence à te connaître. Carte blanche, je te dis
- Tu prends des risques…
- Je sais. J’assume.”

Je sens qu’il souri, essayant d’imaginer la robe… Mais je ne lui en ai jamais parlé. Et l’idée que cette pensée va lui tourner en tête le reste de l’après midi m’amuse beaucoup.

Elle vient d’un créateur français, qui se spécialise dans les tenues kinkies, et qui porte une attention toute particulière à la qualité de ses modèles. 

Cette robe peut donc très bien passer dans un dîner mondain, pour le peu que l’on veuille époustoufler, voir même un peu choquer, les autres convives. 

Thomas avait raccroché en me donnant rendez-vous à 20h. Une voiture viendrait me chercher, et je devais le retrouver à l’extérieur du restaurant. 

Il me restait assez de temps pour me préparer sans être pressée.

J’en profitais donc pour prendre un long bain parfumé. Mousse et huile pour avoir un peau parfaite. 

Une fois sortie de l’eau, je prenais le temps de me sécher le corps dans une serviette épaisse, ainsi que les cheveux en un léger brushing. 

Place au maquillage, que je soigne particulièrement, sachant que toutes les femmes présentes seront impeccablement sophistiquées.

Ce genre de dîner vise surtout à rivaliser de signes extérieurs de réussite, de fiabilité, de puissance, face aux autres convives qui se connaissent tous, mais qui seront à un moment ou à un autre des concurrents ou des clients. 

Cette joute passe également par la personne que chacun va avoir à son bras. Voilà pourquoi beaucoup ont recours à des escorts pour les accompagner, personne n’étant dupe. Au contraire, même. Plus l’escort est chère, plus elle ajoute au prestige de celui qui l’arbore à son bras, même si c’est uniquement pour le dîner. 

Thomas et moi n’étions plus à ce niveau de relation, mais nombre des hommes qui seront présent savent ce que je suis. Certains m’ayant d’ailleurs dérangés dans l’après-midi pour me demander si ils pouvaient avoir recours à mes “services” pour cette soirée. 

Mon refus, précisant que je n’étais plus disponible, même avec la rallonge indécente que certains me promettaient, et mon arrivée au bras de Thomas, serait sans aucun doute un énorme “plus” pour lui… Et le fait que je ne le faisait que pour le plaisir de sa compagnie ne devait surtout pas se savoir, de peur de lui faire perdre cet avantage dans ce monde où l’avoir est plus important que l’être. 

Dans cette configuration, ma robe serait parfaite ! Élégamment scandaleuse, et scandaleusement élégante… 

Sur ces considération, mon “smoky eyes” était parfait lui aussi ! Une touche de gloss pour mes lèvre, et j’étais prête à mettre mes bas.

Et maintenant, place à la robe ! 

Je la passais avec un plaisir évident. Tant parce qu’elle était particulièrement agréable à porter, que pour l’image que me renvoyait mon miroir, et qui me satisfaisait au plus au point. 

Une paire de boucle d’oreille en brillants et pendant de perle fine, un bracelet assorti, mais pas de collier, afin de ne pas casser la ligne de la robe. 

J’étais prête quand le concierge à l’interphone m’annonçait l’arrivée de mon véhicule.

Le temps d'enfiler un manteaux dans une fausse fourrure marron rase, façon chinchilla, descendant jusqu’au au dessus de mes genoux, de mettre une paire de haut talon vertigineux, d’attraper mon petit sac assorti et je descendais à la rencontre de mon chauffeur.

Une belle limousine m’attendais, l’homme en livrée me tenant la porte, et la refermant une fois montée. Le jeune homme au volant était parfait ! Un “bonsoir mademoiselle” sans un regard déplacé ou insistant. Il faudra que je le recommande pour la prochaine fois. 

Une fois arrivé devant le restaurant, Thomas était bien entendu là. Le portier se précipite sur la voiture, et Thomas me tend la main, que je saisie pour m’aider à sortir. 

“Le timing est parfait (Le timing est aussi important. Il ne faut arriver ni en avance, ni trop en retard, pour que suffisamment de regards se tournent vers vous à votre arrivée, mais sans trop d’animosité pour autant.). Et tu es magnifique… Comme toujours…
- Et encore… Tu n’as rien vu” je lui réponds avec un petit sourire mutin, en lui prenant le bras.

J’avais bien vu son petit regard en coin, mi amusé mi inquiet. Ce qui m’amusait tout à fait, pour ma part. 

Notre arrivée fut bien entendu remarqué par toutes les personnes présentes. Et nous avons été accueilli par des sourires ou se mêlait envie et approbation. 

J’attendais avec impatience que le garçon vienne me chercher mon manteau, afin de jouir de la surprise que ma tenue n’allait pas manquer de susciter. 

A l’arrivé du jeune homme, j’ouvrais mon manteau et le laissait glisser doucement. Dévoilant aux yeux de tous, mais surtout ceux de Thomas, cette fameuse robe.

Elle était courte, moulante, sans manches, s'arrêtant juste au dessus du genoux. Alliant découpes de faux cuir de très grande qualité (au point que l’on ne voyait la différence qu’au toucher) et d’une résille couleur chaire. 

L’avant, montant jusqu’au cou, était largement réservé à cette matière opaque noire, cachant de façon centrale mes seins, mon ventre et mon sexe. Avec une fermeture éclaire courant de haut en bas. 

Les côtés et l’arrière était entièrement en résille, à l'exception de trois bandes opaques. L’une descendant tout le long du dos, cachant au passage le sillon de mes fesses. Les deux autres transversalement. L’une délimitant le bas de mon dos, l’autre le bas de la robe.

Elle était coupé de telle façon que l’on ne voyait rien de mon anatomie, mais personne ne pouvait ignorer que j’étais totalement nue, dessous.  

Je pense que certains ont failli avaler leur dentier. D’autres ont dû se sentir un peu plus à l’étroit dans leur pantalon sur mesure. D’autres encore vont sentir longtemps le talon de leur femme planté dans leurs orteils pour leur faire fermer la bouche. 

Thomas avait gardé un masque d’impassibilité, mais je voyais ses yeux flamboyer. Il me détestait et me désirait à la fois, en me présentant à certains convives. 

Au moment de me tenir la chaise pour que je m’assieds, il me glissa à l’oreille “Tu sais que je devrais te détester pour l’érection que je suis obligé de cacher… Pourtant, je n’arrive pas à ne pas t’admirer”

Je le regardais intensément alors qu’il prenait place à côté de moi et que je me penchais un peu pour accompagner le mouvement pour attraper ma serviette. “Tu seras quitte pour me rejoindre discrètement quand j’irais me rafraîchir tout à l’heure, très cher…”

A suivre…​

Merci à la Maison Catanzaro de m'avoir permis de tester la robe Lula qui a inspiré cette nouvelle, en échange d'un test honnête et objectif
(Cliquez sur les photos pour agrandir)

Quel ravissement ! Du moment où j’ai ouvert mon colis et découvert ma ra robe, à celui où je l'ai testée lors de  soirées du Donjon Le Triskel, en passant par le moment où je l'ai enfilée, j’ai vraiment adoré porter cette robe ! 

Je précise que je porte cette création Catanzaro dans une taille XXXL, notamment sur les photos ci-dessus. Donc, les femmes qui se diraient que ce n’est pas pour elle doivent prendre confiance en elle et oser. Et pour les partenaires de ces femmes, foncez ! Faites-leur la surprise de les sublimer dans cette robe !

Les plus : 

• Cette robe est un plaisir à porter ! Très très très confortable ! La matière “faux cuir” est douce et extensible. La résille fine aussi. Ce qui fait que cette robe épouse vos formes sans gêner vos mouvements. 
• Les tailles sont de vraies tailles ! Et le guide des tailles du site est totalement fiable. 
• La coupe est adaptée à chaque tailles. En effet, le modèle sur le site étant mince, avec de petit seins, j’avais peur que ma poitrine généreuse ne soit pas en phase avec les courbes de la découpe (ce qui aurait été très laid). Mais force est de constater que ces courbes sont pile au bon endroit, même avec une poitrine plus lourde.
• La qualité des matériaux est évidente ! Le faux cuir épouse le corps, mais ne se déforme pas dans le temps. Ce qui fait que la robe est toujours impeccable.
• La fermeture éclaire qui permet d’ouvrir la robe par le haut ou par le bas est très ludique

Les moins : 

• Le premier, et le seul en fait, qui me vient à l’esprit serait le prix. Oui, une création Catanzaro, ça a un coût. Mais la qualité des matériaux, de la coupe, l’originalité de la robe et la production 100% française a un coût… ​

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